Il ne parle pas et ne vous dira pas qu’il a mal ou qu’il a faim!
On doit donc deviner pour lui.
Une pouponnière où ça ne pleure pas constamment
Tout petit, on cherche à répondre aux besoins du bébé. C’est pourquoi plus vite on y répond, plus vite il arrête de pleurer. Bébé se sent donc en confiance et en sécurité. Voilà la clé d’une pouponnière où les bébés ne sont pas toujours en train de pleurer.
Un petit truc
Reformulez toujours le sentiment que bébé ressent. « Tu as faim! Je crois que c’est pour ça que tu pleures…Ah oui, c’était ça hein? »
En plus de le sécuriser, il apprendra à mettre des mots sur ses émotions à long terme.
Imagier des sentiments
Je vous propose d’imprimer des images qui illustrent des sentiments ou « des états d’âme » de bébé (bien-être, fatigue, peine, songeur, bonheur, amour...).
Je trouve que les photos se rapprochent toujours davantage de la réalité pour les tout-petits.
Vous pouvez les plastifier et les mettre dans un album ou encore mieux, en faire des cartes pour les laisser à la disposition des bébés.
Quand je travaillais avec les trottineurs, je collais les cartes sur un des cotés du miroir.
En faire un thème
Je crois que de faire un petit thème sur les émotions serait tout indiqué dans une intégration.
Ajoutez-y des livres adaptés aux petits qui parlent de différentes émotions, par exemple.
Bébé bonheur » des éditions Héritage. Il montre des photos de bébés et leurs états d’âme.
Connaissez-vous des chansons et descomptines sur le sujet ?
Le lapin qui a du chagrin.
À la semaine prochaine!